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UFSE-CGT
Articles
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Cadres, ingénieur·es, technicien·nes, agent·es de maîtrise de la fonction publique : exigeons des salaires à la hauteur de nos qualifications
11 mars, par baille — Cadres / Encadrement, une- Des prix qui augmentent et une paupérisation des agents publics
- Des qualifications qui augmentent, mais des salaires qui baissent
- Des déroulement de carrières en berne
- Une intensité du travail et une baisse des emplois publics qualifiés
Pour l'Ugict-CGT, le traitement indiciaire est le seul à garantir l'unicité de la fonction publique et l'égalité entre les fonctionnaires !
Toutes les organisations syndicales de fonctionnaires appellent à la grève le 19 mars 2024. Des préavis sont déposés sur l'ensemble de la fonction publique. Faisons entendre nos revendications par la mobilisation !
Lire la suite dans le tract UGICT-CGT en téléchargement
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Plan d’urgence pour la protection des enfants
11 mars, par baille — Justice, uneEn ce début d'année 2024, deux évènements tragiques questionnent, encore et encore, l'état de la protection de l'enfance en France. La mort de la jeune Lily, 15 ans, retrouvée pendue dans sa chambre d'hôtel le 25 janvier 2024 dans le Puy de Dôme ; celle de la jeune Myriam, 14 ans, retrouvée morte dans un appartement en Seine-et-Marne le 25 février dernier, lors d'une fugue de son foyer alors qu'elle était placée à l'Aide Sociale à l'Enfance. Ces décès font écho à celui du jeune mineur isolé de 17 ans, qui avait été poignardé à mort par un autre jeune, dans un hôtel des Hauts de-Seine où il était placé, en décembre 2019.
Comment a-t-on pu en arriver là ? Depuis plus de 20 ans, l'enfance en danger est de moins en moins bien protégée.
Lire la suite dans le communiqué de presse du Collectif Justice des Enfants
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Un 8 mars historique !
8 mars, par baille — ExpressionsCe vendredi 8 mars, environ 200 000 personnes, selon un décompte partiel, ont participé aux plus de 200 manifestations et rassemblements prévus sur tout le territoire.
Á Paris, la manifestation a rassemblé plus de 100 000 manifestant·es. Elles et ils étaient 5 000 à Lille, 10 000 à Lyon, 8 000 à Bordeaux, 7 500 à Rennes, 1 000 à Saint-Etienne, 100 à Châteauroux, 500 à Bourg-en-Bresse, 600 à Perpignan, 3 000 à Grenoble, 200 à Rodez, 250 à Blois, pour ne prendre que quelques exemples.
Des mobilisations sont encore en cours en cette fin de journée et de nombreuses initiatives militantes ont eu lieu cette semaine, qui plus est dans le contexte de l'inscription de l'IVG dans la Constitution, et se poursuivront ce week-end.Le 8 mars, ce n'est ni la Saint Valentin, ni la fête des mères. Le 8 mars, c'est la journée internationale de lutte pour les droits des femmes pour gagner l'égalité salariale et la reconnaissance professionnelle qui sont garantes de l'indépendance économique des femmes.
Cette journée massive de mobilisation, fortement marquée par la présence de la jeunesse, a permis de mettre au centre la question de l'égalité entre les femmes et les hommes, que ce soit au travail, dans la vie et dans la société.
Sa réussite est à mettre à l'actif d'une unité syndicale inédite sur l'appel à la grève féministe et d'une construction avec les associations et collectifs féministes, les ONG, et le soutien de nombreuses organisations politiques.
Les travailleuses et les travailleurs qui se sont mis·es en grève aujourd'hui ont bien compris que les inégalités dans la société et dans la vie ne sont plus possibles. À l'image de la campagne CGT #UnJourSansNous et de l'étude IRES-CGT « Investir dans les métiers du soin et du lien : un enjeu d'égalité entre les femmes et les hommes », la grève féministe met en lumière la nécessaire revalorisation des métiers à prédominance féminine et l'indispensable création d'emplois.
Sur tout le territoire, de nombreuses grèves et actions revendicatives ont été organisées dans une grande diversité de secteurs professionnels : travailleuses et travailleurs de la propreté mobilisés devant l'Assemblée nationale ; salarié·es du Technocentre Renault de Guyancourt, de Leroy Merlin à Paris, de L'Équipe et de Radio France ; personnel·les de l'Arc de Triomphe ; agent·es des EHPAD de Bezons (95) et Bellefontaine (38) ; agent·es hospitalier·es de Coutances (50) ; agent·es territoriaux de Lyon et Perpignan ; de nombreux cheminotes et cheminots, salarié·es des plateformes téléphoniques et bien d'autres encore.
À l'image de la lutte courageuse menée depuis 13 jours contre des mutations forcées par les femmes de ménage d'Élior Derichebourg à Grenoble, le 8 mars continue demain et au quotidien sur tous les lieux de travail, dans les branches professionnelles et la Fonction publique.
La CGT continuera de mettre à l'ordre du jour l'égalité dans toutes les négociations, de gagner partout des négociations égalité femmes-hommes et œuvrera pour obtenir une transposition de la directive transparence salariale de haut niveau.
Avec les nombreuses luttes en cours et à venir, ce sont les salaires et les droits de toutes et tous qui s'amélioreront.
Montreuil, le 8 mars 2024
– Communiqué CGT en téléchargement
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Restauration collective des agents de la Fonction publique : courrier UFSE-CGT au ministre Stanislas Guérini
8 mars, par baille — Restauration, uneMonsieur le Ministre,
Vous avez accordé un entretien télévisé à Acteurs Publics TV en direct du salon international de l'agriculture sur le stand de la Mutualité Sociale Agricole pendant lequel vous avez abordé le sujet de l'alimentation des agents de la Fonction publique au titre de la restauration collective.
Vous avez notamment déclaré que :
- L'alimentation des agents publics représente un enjeu majeur non seulement en termes de santé, de bien-être au travail et d'attractivité de la Fonction publique mais aussi en termes de transition écologique ;
- La restauration collective des agents publics représente 400 millions de repas servis chaque année et 1 milliard d'euros pour l'achat des matières premières alimentaires ;
- La Fonction publique doit s'engager dans une démarche de décarbonation des assiettes des agents publics grâce à des achats responsables, durables, de qualité et français et doit aller plus vite pour respecter les engagements de la loi EGALIM qui prévoit au moins 50 % de produits de qualité et durables dans la restauration collective alors que nous n'en sommes qu'à 23 % à ce jour.
Pour parvenir à atteindre ces objectifs, vous avez annoncé la mise en œuvre de plusieurs actions et notamment :
- L'obligation pour toutes les administrations de publier leurs résultats en matière d'achats durables et de qualité sur le site « macantine.gouv.fr » ;
- La formation de 25 000 cadres dirigeants de la Fonction publique sur cette thématique de la décarbonation dans la restauration collective des agents publics ;
- La mise en place d'une « formation écologique » pour 7 500 chefs/cuisiniers pour un montant de 15 millions d'euros.
Lire la suite dans le courrier UFSE-CGT au ministre de la Fonction publique
Consultez également :
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Appel du Conseil national de l’UFSE-CGT aux agent·es, fonctionnaires et contractuel·les, de la Fonction publique de l’État
7 mars, par baille — Les Congrès et conseils nationaux, une